L’histoire des individus est à l’image de celle des sociétés qui les secrètent. Elle (cette histoire) n’évolue jamais de manière rectiligne, même si la marche des hommes et des sociétés se veut ascendante en partant d’un point D (comme Départ) vers un point D’ (compris comme Destination).
L’histoire n’est pas non plus cyclique, même si l’on a l’impression qu’elle est répétitive et qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil. En réalité, un peu comme on le voit sur un sismogramme ou sur un électrocardiogramme, l’histoire évolue en ligne droite, mais en dents de scie. Elle enregistre ainsi des hauts et des bas, des montées et des descentes, qui correspondent à des périodes d’avancée et de régression. Telle apparaît la marche des sociétés ; et telle donc est celle des individus qu’elles secrètent et qui, en retour, les façonnent, les modifient et leur impulsent une trajectoire autre que celle d’hier.
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